photographie clinique

La photographie clinique c’est quoi ?

La photographie clinique est une photographie à usage médical. Elle est d’un grand secours au corps médical pour établir un diagnostic, mais aussi pour faire un point d’étape dans de nombreux processus de prise en charge. Elle peut être faite par un photographe dédié à cette pratique. La plupart du temps, elle est faite par le praticien lui-même. Pour en savoir plus sur la 3d aesthetic, contactez des professionnels.

Qui utilise la photographie clinique ?

Nombreux sont les domaines de la médecine qui utilisent la photographie clinique. Les praticiens en dermatologie, en chirurgie plastique et capillaire, en chirurgie générale, reconstructrice, réparatrice, orthopédique s’en servent. La photographie peut être utile à chacune des étapes de la prise en charge du patient : diagnostic, préopératoire, peropératoire, pansement, etc.

A quoi sert la photographie clinique ?

La photographie médicale remplace à plusieurs titres le regard du praticien. En pointant l’objectif sur une partie du corps d’un patient, le médecin peut argumenter de son objectivité, car il s’appuie sur ce que montre la photo. La médiation par la photographie permet de créer un cliché qui va lui servir de base de travail. Elle sert de soutien à l’analyse, mais également de preuve en cas de conflit avec le patient. C’est aussi une trace dans le dossier médical de ce dernier.

Les vertus de la photographie clinique

Pour le praticien, la photographie clinique remplace ou tout au moins appuie un compte-rendu écrit de la situation médicale du patient. On peut dire qu’une photo vaut mieux ou aussi bien qu’un long discours. Dans de nombreux domaines de la médecine, une photo parle d’elle-même, elle est convaincante. C’est un document qui a valeur de preuve et qui, dans certains cas, permet une prise en charge plus rapide du besoin du patient.

Qu’est ce que l’imagerie médicale avancée ?

La médecine existe depuis presque toujours ( utilisant évidemment d’anciennes techniques ou outils de guérison ), mais les premières inventions médicales datent des années 1900, comme par exemple Alexander Fleming avec la pénicilline. Aujourd’hui, la médecine utilise fréquemment des appareils de haute technologie comme les radios, les scanners etc.. afin d’approfondir leurs examens et recherches : on appelle ce principe l’imagerie médicale. Elle se constitue de deux groupes : les images qui se focalisent sur l’anatomie des organes du corps humain, ainsi que les images qui, elles, montrent le bon ( ou bien le mauvais ) fonctionnement des organes.

Ces techniques permettent de voir le corps humain sous tous les angles. Pour connaître la source de toute cette avancée, il faut remonter à la découverte des rayons X, servant aujourd’hui aux radiographies. En utilisant ses rayons avec différents matériaux, les examens aboutissent à des résultats révélateurs.
L’imagerie médicale est en réalité tout un ensemble d’images du corps humain obtenues grâce à plusieurs phénomènes physiques. En les utilisant, nous pouvons obtenir en image les organes, les muscles, leurs mouvements, mais également les cellules d’un individu.

Il existe de nombreuses techniques relevant de l’imagerie médicale :
– l’IRM (ou champ magnétique), qui permet d’obtenir une image en trois dimensions d’une partie du corps. Cette technique est très appréciée en imagerie cérébrale.
– la radioactivité, servant à détecter les cellules cancéreuses ou les infections.
– les rayons X, constitués de rayons gamma, qui sont utilisés pour les radiographies.
– les ultra-sons permettent d’étudier les flux sanguin d’un organe, comme par exemple ceux du cœur. On se sert des ultra-sons notamment pour effectuer des échographies.
– les rayons lumineux. Ils permettent de voir la quantité d’oxygène contenue dans des tissus.

Toutes ces techniques permettent la réussite d’opérations chirurgicales qui étaient presque irréalisables auparavant. Il est possible que, dans un futur proche, il soit possible de superposer ces deux types d’imagerie pour n’en faire plus qu’une sorte qui puissent à la fois montrer la structure, et le fonctionnement d’un organe.